coeur hématome (elias)

(   0 1 .   I D E N T I T É   )

—  rivera ⋄ ( atwood ) elias  —
Second gamin qui a pointé le jour chez les Rivera -- Gosse qu'il a été, il s'en souvient de ces moments encore lorsqu'ils étaient encore une "famille" éclat de rire qu'il entend résonné où il a vu ses parents s'aimer à la folie d'un amour qu'il a cru indestructible, une vision bien trop belle avant qu'il ne comprenne à quel point tout était irréel une parfaite illusion porté par un homme qui lui est inconnu et dont il refuse de parler ou aux yeux de tous il considère mort même si malheureusement ses dires sont bien loin de cette réalité qu'il aurait tant souhaité où il apprit rapidement que les apparences étaient bien plus trompeuse qu'on ne pourrait le croire. Vie cruelle d'une famille décimé dans ce monde trop superficiel. Rivera scander avec fierté et surtout le nom porté par sa mère où il n'a pas hésité à retirer le nom de son paternel qui a laissé malgré le refus de vouloir l'admettre, une marque indélébile et une colère à toute épreuve. Il refuse d'être associé à lui face à la vérité qu'il a encore du mal à accepté. Aux dires d'Elias, leur père est parti sans se retourner, mort à ses yeux, lui qui a souffert le plus face à cette vérité hurlante où souvent encore, il lui arrive d'avoir encore bien du mal à accepter les dires de sa mère face à cette révélation troublante. C'est lui qui était le plus proche de cet, lui qui était si fier de se dire être le fils de son père. Un homme qu'il avait vu au-delà des frontières comme le héros d'une vie entière à vouloir lui ressembler. A la différence de celle qui la mise au monde ou pendant de longues années et à surprendre beaucoup, leur relation été plus que conflictuelle et ça même s'il l'a vu se démener pour ses soeurs et lui pour leur offrir une vie aussi décente que possible. Des années à lui en vouloir, à lui reprocher le départ d'un père et de l'avoir laisser dans ses propres tourments devant les questions auxquelles elle a refusé à lui offrir une réponse où sa colère a été animé jusqu'à ce qu'elle finisse par céder devant un fils qui ne cessait de se détruire et comprendre finalement pourquoi elle avait pris ses gosses pour partir du jour au lendemain.

On dit que parfois on est souvent aveuglé parce que certaine vérité font plus mal que d'autres avant de la prendre en pleine gueule...
insensé jusqu'au déni qui la submergé avant que tout lui revienne à l'esprit devant la vérité d'un homme loin d'être l'idéal qu'il avait tant imaginé. Il s'en souvient des mensonges de son père, d'un homme manipulateur quand il savait que gamin qui le voyait comme un dieu n'aurait pas de mal à le croire. Aujourd'hui, la seule chose dont il se souvient de cet homme, ce sont les tromperies de celui-ci et les dettes de jeux qui leur a laissé. Manipulation contre ce fils qui a cru aux dire de son père avant de lui laisser pour une héritage, une vie misérable où sa mère à dû se retrouver face à plusieurs boulots, grandir plus vite que les autres pour l'aider et e retrouver avec ce titre d'homme de la maison. Celui qui a dû encaisser, devenir adulte, se retrouver père de substitution pour la petite dernière jusqu'à sacrifier ses propres rêves pour offrir à ses soeurs une vie différente de la sienne. Une vie où le bonheur leur sera offert quand lui s'est effacé sans pour autant le regretter même si la cicatrice n'en demeure loin d'être aussi fermé qu'il le prétend. Atwood mépris entre ses lippes face à ce nom qu'il a effacé et laisse en lui une rancune contre un homme qu'au fond il ne connait pas et le refus toujours et encore d'évoquer ce type qu'il considère mort et enterré et ça même si la vérité est tout autre et auquel il ne peut l'avouer laissant certain secret enfoui quand il sait les dégâts que cela pourrait causer. Pour lui, Rivera en est sa fierté, sa patrie et celui d'une femme qui a tout sacrifié pour lui et dont il sait à qui il doit tout.

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(   0 2 .  Â G E   &   N A I S S A N C E   )

—  36 ans ⋄ 20 août à miami ▫ (floride)  —
♂ ʟᴇᴏ ѕᴜɴ ☾ scᴏʀᴘɪᴏ ᴍᴏᴏɴ ✩ ʟɪʙʀᴀ ʀɪsɪɴɢ ⚘ ⦙  Les contes de fées, elles n'existent pas, elles sont juste là pour nous refléter une vie plus belle et imaginaire et nous faire croire que dans la vie les histoires heureuses finissent par toujours et ils vécurent heureux quand tout n'est qu'une connerie pour offrir aux gamins une illusion que la vie ne sera pas si cruelle que ça. Mensonge qu'il hurlerait quand il a vu à quel point et dès son plus jeune âge qu'elle était fait de souffrance où l'on apprend à choisir d'avancer espérant qu'un jour certaines cicatrices finisse par se tasser ou à abandonner et attendre notre heure arrive pour s'effacer dans un tas de cendres et qu'il reste en nous qu'un prénom et nom effacé qui au fil des années en est devenu un lointain souvenir. Elias, gamin à peine haut comme trois pommes quand il a saisi le sens de la vie, elle peut être belle, mais finalement elle en reste éphémère. Grandir quand on est encore qu'un gosse, qu'on ne sait rien de la vie c'est ce qu'on lui a toujours demandé parce que sa famille comptait sur lui parce qu'en tant qu'homme seul de la maison, sa mère a compté sur lui plus que sur sa soeur trop paumé pour y voir clair quand lui déjà trop adulte à vite saisi que sa réalité serait faites de sacrifices où il dû s'occuper à relever une soeur ainé qui aurait dû l'aider à avancer, le laisser profiter de ces années d'innocences ou finalement c'est lui qui la souvent surement trop sortie de ses conneries et jouer au père quand lui n'était qu'un simple frère qui demandait juste à vivre comme tous les autres. Petite sœur qui n'a jamais vraiment connu leur paternel quand il s'est retrouvé avec la tâche d'y jouer tous les rôles, frère, ami, père, confident rôle parfois étouffant et pourtant, il l'aime cette gamine à en mourir où il en a souvent rigolé devant ses paroles à peine voilées lui rétorquant qu'ado qu'il était, il n'était pas assez à même comprendre ce que pouvait vivre certain adulte quand sa vie à lui commençait. Ironique, qui crache de sa bouche quand il a vite compris que ce n'était pas l'âge qui définissait notre mental, mais bel et bien notre vécu, vie trop superflu pour un homme devenu qui parfois s'est perdu dans une identité auquel souvent il en hurlerait à songer qu'il est quand trop souvent il a dû porter bien nombre de casquettes. Trente-six années éclatées qui se sont ouvert sous ce soleil où il a poussé ce premier cri à Miami, instant d'innocence avant que celle-ci lui soit repris quelques années après ou devant les précipices d'une destinée à laquelle il n'a jamais eu l'opportunités de choisir sa voie quand celle-ci a été tracée pour lui grâce à un paternel qui lui aura finalement volé son enfance et celle de grandir comme tout ces gamins quand lui était trop responsable. Merci papa de cette vie démesurée qu'il lui cracherait bien à la gueule si celui-ci en valait la peine.


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(   0 3 . O R I G I N E S  &  N A T I O N A L I T É S   )

—  américain  ⋄ origines  ( mexicaine ▫ européennes )  —
Ce qui nous défini ce n'est pas d'où l'on vient et notre héritage, mais ce qu'on décide d'en faire et choisir d'en être la personne que l'on désire. 

C'est sous le soleil de Miami où il aura vécu un grande partie de sa vie, une vie aussi décadente qu'il a toujours été, incapable de rester en place où s'il est américain par le sol, il ne fait de doute que lorsqu'on le voit, caractère bien trempé parfois à l'excès que le sang chaud coule dans ses veines et ce n'est pas sa femme qui pourra en dire le contraire. Mexicain qu'il est fier face à un héritage où très souvent, on ne cesse de lui dire et bien plus qu'il n'y parait qu'il marche sur les traces de son grand-père paternel, paix à son âme quand il entend encore les histoires qu'on lui racontait et surtout de son abuelita lorsqu'il mettait pied à terre sur cet héritage conservé. Il l'entend résonné devant sa maturité à lui aussi quand il s'est retrouvé à s'occuper de ses frères et soeurs face à la tuerie de leur parents, vie tragique pour un homme qui n'a jamais abandonné avant de trouver sa voie dans celle qu'il a choisi comme si leur destin était lié à jamais quand il s'est retrouvé militaire lui aussi, la seule voie qu'il a choisi pour lui et à laquelle il a refusé d'abandonner au détriment de sa mère et de ses soeurs qui n'ont jamais compris ses raisons qui l'ont poussé à choisir cette voie. Elle seule, en détenait la raison comme le fait qu'il n'est pas surprenant pour elle qu'il est choisi une femme comme Tara caractère au sang chaud, aimant qui s'attirent devant le coup de foudre où elle l'entend lui raconté son histoire avec lui cet homme qui se désigne finalement à avoir suivi le traces sans le dire comme si le passé se réécrivait et lui rappelle l'histoire de ses ancêtres ancré en lui, fierté mexicaine au bout de ses lèvres et de cette femme, cette seconde mère encore présente et lui offre un peu de paix quand la guerre continue bien souvent a éclaté dans sa vie surtout depuis ces derniers mois. La seule chose qu'il détient de son père et d'une famille effacée comme s'ils n'avaient jamais existé où ce qu'il y retient, ce sont ces origines européennes où il n'a pas voulu cherché plus loin quand eux l'ont sorti de son existence et lui rappeler sans cesse, que sa mère, ses sœurs et lui était la famille de trop, celle qu'on fait disparaître comme lui en a fait tout autant quand eux ne sont que des étrangers, des noms parmi tant d'autres et rien de plus.
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(   0 4 . O R I E N T A T I O N   S E X U E L L E   )

—  hétérosexuel un jour ▫ hétérosexuel toujours  —

Une famille mexicaine implique des valeurs ancrées depuis la nuit des temps, c'est en tout cas le son qui longtemps dans sa famille et dans la voix de celle qu'il aime plus que tout, son abuelita, mexicaine pure souche. Elle a toujours vécu dans cette idéologie que l'amour se résumait à un genre spécifique et à deux sexes avant que sa sœur aînée lui avoue être bisexuelle. Trouble révélation pour elle ou pendant un temps, elle n'a su comment réagir avant de suivre le point de vue de Elias, que l'amour n'a ni sexe ni genre, qu'il arrive pour une raison. Elle croyante et pratiquante à su se laisser aller à cette liberté de croire que si les choses se produisent, ce n'est pas un hasard. Que quelque chose de plus haut en était l'instrument, si Elias est loin de croire à tout ça, il la respecte pour lui offrir l'idée que peut-être oui dans l'univers, une puissance nous éclaire le chemin pour trouver notre propre voie. La différence entre sa mère et lui, sujet à discorde ou les tensions règnent entre eux. Quand Elias a toujours eu une ouverture d'esprit très libre, acceptant chacun comme il l'était au point qu'il n'a pas hésité à défendre sa sœur ainée quand sa mère elle a du mal à s'y faire, si elle la respecte, elle n'aime pas voir son fils l'encourager. Elias est le premier à qui elle a avoué son orientation et qu'il défend corps et âme comme il l'a toujours fait auprès des siens sans doute parce qu'elle le sait sa soeur, lui n'a jamais eu de soucis à ce niveau bien au contraire et ça même s'il a toujours était attiré comme il le disait gamin par ses sirènes qui ont longtemps résonné autour de lui et ça même s'il était loin d'être le genre d'adolescent à profiter. Il n'est pas ce stéréotype d'adolescent bien dans sa peau, populaire parce qu'il avait le charme pour plaire à flirter avec les filles les plus en vue. Plutôt rebelle et solitaire, sa vie a davantage tourner face à des responsabilités. Il n'avait pas le temps pour ça même s'il l'a toujours qu'il était où comme sa femme préfère le dire tarasexuel qu'il admet sans aucune hésitation quand elle représente le genre de femme qu'il s'est toujours imaginé dans sa vie sans même le savoir. Celle qui vous coupe le souffle jusqu'à vous rendre dingue et malgré les querelles où les assiettes volent souvent entre eux, il n'a jamais regardé et ne regardera en aucune manière une autre femme qu'elle parce que même si ces derniers temps leur relation est à couteaux tirés. À ses yeux, cela ne change pas qu'elle représente la femme idéale, son plus grand fantasme et sa plus grande faiblesse, au point qu'il n'y a pas de doute à avoir, Elias est bel et bien hétérosexuel.
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(   0 5 . S T A T U T    C I V I L   )

—  marié à @tara rivera ⋄ ( en instance de divorce )  —
Il parait qu'on a le droit de conduire dès seize ans, d’aller faire à la guerre à dix-huit, de boire de l’alcool à vingt-et un, de partir à la retraite à soixante-cinq, mais pour connaitre le grand amour, celui qui vous fait vibrer de l’intérieur au point d’en y perdre pied jusqu'à vous envoyer la claque de votre vie dans la gueule, il n’y a pas d’âge légal…

écrire ici le statut de votre personnage.

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(   0 6 . P RO F E S S I O N   )

—  ancien militaire ▫ ( force spéciales ) ⋄ pompier :: rescue squad  —

Et toi gamin, tu feras quoi plus tard
quand tu deviendras enfin grand et adulte ?  

༄  CRÉDITS : écrire ici les crédits pour ta fiche de présentation (images et citations)

༄ ÂGE : why just why ?    ༄ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : j'y suis déjà et je suis bien trop faible   ༄ TON PERSONNAGE : inventé  ༄ UN DERNIER MOT : du loveeee sur vous but mostly on the beauty of the beauty and my crazy wifey @tara rivera tu pourras pas dire qu'il est pas doué pour les déclarations d'amour